La sectorisation en cellules hydrosédimentaires en trois niveaux hiérarchiques a été réalisée autour de la Grande Terre. Ce découpage est basé sur la source dominante des sédiments (marine, continentale, mixte).
Généalogie :La méthode développée pour réaliser la cartographie des cellules hydrosédimentaires est basée sur une analyse qui intègre des informations et des données morphologiques, sédimentologiques, bathymétriques et prend en compte les apports sédimentaires continentaux. L'approche prend en compte trois niveaux d’emboitement des cellules hydrosédimentaires. La méthode a été appliquée à l’ensemble des côtes de la Grande Terre ce qui a permis de définir 25 cellules hydrosédimentaires principales (de niveau 1). Elles ont ensuite été segmentées en 64 cellules secondaires (de niveau 2), elles-mêmes redécoupées en 121 cellules de niveau 3. Ce dernier niveau prend en compte la source des apports sédimentaires dominants sur la cellule (continentale, marine ou mixte).
Source à citer : Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie - DIMENC/SGNC/Observatoire du Littoral de Nouvelle-Calédonie (OBLIC) - BRGM, 2022
Plus d'informations :
Rapport "M. Garcin, M. Vendé-Leclerc, N. Valentini (2022) - Observatoire du Littoral de Nouvelle-Calédonie (OBLIC) – Bilan des actions 2020-2022. Rapport BRGM/RP-71652-FR. 111 p., 80 fig., 12 tab." : Téléchargement des données :
![[Open Data]](/data/base/images/od_80x15_blue.png)